Le Docteur Alain SCOHY

L'homéopathie, puis la découverte du travail d'Antoine Béchamp, m'ont amené à découvrir ce que l'on nomme le "terrain". Ma vision de la maladie s'est progressivement modifiée. J'ai perçu l'impact du psychisme, des vitamines et de l'alimentation.
Je me suis tourné vers ces approches alternatives car je me suis rendu compte que l'allopathie ne répondait pas à tout. Mon idée était d'aider la nature plutôt que de la combattre. Dans certains cas, les antibiotiques, par exemple, pouvaient avoir des effets indésirables.
Les constats cliniques que je faisais sur le terrain m'ont amené à questionner l'efficacité et l'intérêt de la vaccination. Je pense que nous devons envisager le vivant comme un équilibre remarquable et nous abstenir d'intervenir quand il n'y a pas de motif impératif de le faire
Par ailleurs, ce qu'on m'avait enseigné sur l'infectiologie classique ne rendait pas compte de manière satisfaisante de tout ce que je pouvais observer chez mes patients.
Dans cette vision, les microbes ne sont pas forcément des agents pathogènes comme on nous l'enseigne. Certes, ils interviennent dans les maladies, mais nous sommes aussi composés de milliards de virus et de bactéries : notre organisme n'est pas aseptique comme le prétendait Pasteur. Nous le savons aujourd'hui, ils pourraient être une partie nécessaire de nous-mêmes.
Certains chercheurs vont aujourd'hui jusqu'à remettre en cause le caractère agressif et pathogène des virus. Ces derniers pourraient être des exosomes, des microzymas, des "nettoyeurs" quand notre organisme subit des déséquilibres importants.

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Je ne détiens pas la vérité, je cherche humblement : notre médecine moderne repose sur des postulats, mais quand les constats cliniques les remettent en question, je juge nécessaire de les questionner.
Dans ma démarche, je ne cherche pas à convaincre les gens de mes hypothèses, mais à susciter le questionnement, les approfondissements.
J'estime que nous devrions envisager différemment la recherche en immunologie en tenant compte de la réalité des microzymas et du concept de terrain. Nous devrions nous interroger sur la réalité supposée de la contagion. La période COVID a mis en défaut tout ce que nous croyions savoir : les algorythmes de Ferguson de l'Imperial College n'ont pas fait leurs preuves.

Saurons-nous ensemble faire avancer la science dans le respect et la tolérance ?

 

(Mon livre : PARCOURS D'UN MEDECIN aux éditions l'Harmattan vous permettra de mieux comprendre mon cheminement)