top of page

Vitamine C et CANCER

Nous sommes déjà dans de l'histoire ancienne ! 

Mais notre médecine moderne ne semble pas avoir "entendu" !

Les médecins n'hésitent pas à prescrire de la chimiothérapie - toxique et bien souvent inutile - mais il semble que l'utilisation des vitamines leur apparait impensable, voire dangereuse !

Pourquoi ?

​

Août 2008 : L’efficacité de la Vitamine C injectable à forte dose reconnue !

 

Un article paru le 6 août 2008, dans le principal quotidien polonais (équivalent du Monde en France) signé Aleksandra Stanislawska, l'annonce clairement : 

​

La vitamine C peut “soigner” le cancer !

​

Pour qu'elle agisse, il faut administrer cette substance par voie intraveineuse et en grandes quantités – estiment les scientifiques.
Les médecins soupçonnaient, depuis presque 30 ans, que la vitamine C peut influer sur le déroulement des cancers ; toutefois son absorption n'a pas apporté jusqu'à présent les effets escomptés. La raison ? Le conduit digestif n'assimile pas les hautes doses de cette substance, et le cancer réagit seulement à une grande quantité.

Il en va tout autrement lorsque la vitamine C est injectée par voie intraveineuse – il appert que l'on peut de cette façon réduire la croissance et les dimensions de la tumeur cancéreuse, et ce même de moitié. Le rapport y afférent est publié par le dernier numéro du courrier “Proceedings of the National Academy of Sciences”.
Sont dorénavant convaincus de la grande efficacité de cette méthode les scientifiques américains du National Institute of Health qui ont testé l'impact de la vitamine C sur des souris souffrant d'une tumeur maligne des ovaires, du pancréas et du cerveau. On a administré aux souris par intraveineuse ou dans l'abdomen jusqu'à 4 grammes d'acide ascorbique pour 1 Kg de la masse corporelle par jour. Pour comparer : les comprimés accessibles sur le marché polonais contiennent jusqu'à 1 gr de cette substance, qui correspond à la quantité maximale conseillée de vitamine C pour un adulte.

Après une telle cure, les scientifiques ont noté une action anti-cancéreuse de la vitamine C chez 75 % des souris.
Comment a-t-on pu en arriver là ? Pour simplifier, l'impact de l'acide ascorbique sur le cancer rappelle les effets de la radiothérapie. Sous l'influence de hautes doses de vitamine C dans le liquide intracellulaire entourant la tumeur apparaissent des oxydes d'oxygène qui endommagent rapidement les cellules cancéreuses se divisant. Les cellules saines dans lesquelles les divisions ne se font pas aussi rapidement restent indemnes.
Chez les souris soumises à un traitement de choc de vitamine C, les tumeurs cancéreuses ont diminué de 41 à 53 %.

Les auteurs du rapport suggèrent qu'une grande quantité de cette substance BON MARCHE et SECRETE pourrait de la même manière agir sur les être humains.


A peu près au même moment, l’information est reprise par Le nouvel observateur en France, signé Sandra Ducasse :
 

De la vitamine C contre le cancer : de fortes doses de vitamine C diminueraient les cellules cancéreuses !


Des chercheurs de l'Université du Kansas viennent de découvrir que la vitamine C, à très forte dose, pourrait avoir des effets anti-cancer.
Des chercheurs du centre médical de l'Université de Kansas ont injecté de la vitamine C à très haute dose dans les veines ou dans la cavité abdominale de souris atteintes de cancer. Ils ont trouvé que les tumeurs ovariennes, pancréatiques et du cerveau ont été ralenties dans leur croissance et sont devenues plus petites. Selon les chercheurs, les hommes bénéficieraient des mêmes résultats après une injection de vitamine C intraveineuse.
Obtient-on les mêmes résultats en avalant de la vitamine C ? Non, car notre corps met en jeu des processus biologiques afin de contrôler les doses de vitamines C absorbées oralement. Quand nous mangeons plus de 200 mg de vitamine C par jour, ces mécanismes empêchent les vaisseaux sanguins d'en absorber davantage. Injecter des vitamines par les veines permet d'éviter ces mécanismes et d'acheminer de grandes quantités de vitamine C.
A faible concentration, la vitamine C est considérée comme un anti-oxydant. Or, à forte dose la vitamine C aurait un effet pro-oxydant en permettant la synthèse d'eau oxygénée autour des tumeurs mais pas dans le sang. Les cellules saines ne sont donc pas affectées. Selon le professeur Mark Levine, de l'Université du Kansas, les patients ayant reçu un pronostic grave de cancer pourraient bénéficier d'une injection de vitamine C.

 

Combien il est heureux que les “chercheurs” officiels se rendent compte de cette réalité enfin... Mais que de demi vérités, voire de mensonges, et d’hypothèses gratuites dans leurs explications !

  • Ce ne sont pas les chercheurs officiels qui “soupçonnent” depuis 30 ans l’efficacité de la vitamine C mais le Pr. Linus Pauling - non médecin, non biologiste - et quelques médecins et chercheurs dissidents mis au ban de la recherche officielle...

  • Leurs affirmations dans ce sens n’ont jamais été entendues jusque là par la médecine moderne. Et elles ne le sont toujours pas à ce jour ! 

  • Ces articles - pourtant importants et prometteurs - n'ont eu aucune suite à ma connaissance à ce jour, plus de 15 ans après, dans les milieux officiels. Pourquoi ?


Inexactitudes sur l’absorption de la vitamine C

Si la prise de vitamine C par voie orale n’est pas facile et reste peu efficace, ce n’est pas lié à une incapacité d’absorber cette substance ou à de prétendus mécanismes de blocage comme le prétend l'article du Nouvel Observateur, mais à deux facteurs :

  • Pour les doses inférieures à quelques grammes par jour, tout ou presque est “capturé” au passage par le foie du fait du cycle entéro-hépatique Porte. En effet, l’intestin grêle est drainé par le système veineux Porte qui est ensuite filtré par le foie, et ce dernier a tellement besoin de vitamine C qu’il n’en laisse guère pour le reste de l’organisme.

  • Pour les doses de 10 grammes par jour ou plus, le retentissement digestif est parfois important du fait du caractère acide de la vitamine C. Si l’estomac supporte très bien cet acide faible, le duodénum qui lui fait suite doit la tamponner par une décharge de bile et de suc pancréatique, ce qui peut entraîner des désagréments importants : gaz, diarrhées etc..

 

Les chercheurs parlent ici de 4 g par kilo de masse corporelle, ce qui amènerait à proposer des doses de 200 à 300 grammes par jour pour un humain adulte. Pourquoi pas ? Où en sont les essais à ce jour ?


La vitamine C injectable

 

En France, on ne trouve que des ampoules de 1 gramme de vitamine C tamponnée (c'est à dire ramenée à un pH neutre supportable par la paroi veineuse) dilué dans 5 ml d'eau (Laroscorbine).

Il existe des formes plus pratiques en Hollande (flacons de 10 ou 25 grammes) tamponnées de la même manière et en Allemagne où l'on trouve de la PASCORBINE dosée à 7,5 grammes.


Dans tous les cas, ces formes injectables sont assez mal tolérées par les veines qui claquent facilement et se sclérosent rapidement, ce qui rend donc ces protocoles aléatoires. 

L'idéal serait de pouvoir disposer de formes variées de vitamines C tamponnée : non seulement  de l'ascorbate de sodium (tout ce qui est actuellement en vente en Europe) mais aussi de l'ascorbate de potassium et de l'ascorbate de calcium pour pouvoir moduler les injections en fonction du bilan ionique du patient.

La voie intraveineuse semble efficace mais délicate du fait de la fragilité des parois veineuses. Pourquoi ne pas tenter de poser (chirurgicalement) un système de portacath (chambre implantable que l'on utilise de nos jours pour les chimiothérapies) pour éviter cet écueil ?

Sinon, des petits lavements rectaux répétés souvent dans la journée d'ASCORBATE sont tout aussi efficaces et sans aucun danger ou inconvénient.


Le mode d’action supposé de la vitamine C

 

Pour les chercheurs qui ont fait ce travail – compte tenu de la logique médicale pasteurienne en vigueur – il faut absolument que la vitamine C devienne une arme de destruction. Selon eux, un produit anti-oxydant deviendrait super-oxydant à forte dose et détruirait de ce fait, de manière aveugle, les cellules cancéreuses. C’est comme si de la peinture blanche appliquée sur un mur donnait un "rendu" noir si l’on ajoutait quelques couches supplémentaires : n’importe quoi !


Non, la vitamine C est un anti-oxydant, et il est probable que son action s’explique uniquement par son impact remarquable sur les microzymas.

Bien sûr, il faut, pour le comprendre, accepter enfin la réalité des microzymas et leur rôle :

  • Ils sont les bâtisseurs de tout ce qui constitue les organismes vivants : tissu conjonctif, cellules, squelette, organes, peau – et même les bactéries, 

  • Ils sont responsables du bon fonctionnement de l’ensemble de ces organismes,

  • Ce sont eux qui bâtissent ou démontent – sur ordre du cerveau – les cancers.


N'oublions pas qu'un processus cancéreux est complexe et remarquablement organisé, avec son réseau vasculaire (artères, artérioles, veinules, veines, vaisseaux lymphatiques), ses nerfs et tout ce qui est nécessaire à un organe "normal" !


Tout se passe comme si, pour travailler efficacement et éviter une exubérance excessive de ces constructions cancéreuses, ils avaient besoin d’y voir clair. La vitamine C leur apporterait alors l’éclairage adéquat.


Sous vitamine C à dose suffisante, une tumeur indispensable à la survie psychologique – mais de taille excessive à l’origine de troubles fonctionnels (occlusion, compressions diverses) – retrouvera sa taille normale et les troubles fonctionnels pourraient disparaître. Sa masse va donc diminuer...


Par contre, pour lui permettre de fondre totalement, il sera indispensable de débrancher le programme correspondant  au niveau du cerveau et donc de dénouer la situation conflictuelle si l'on accepte de tenir compte du paradigme psychosomatique.


Dans tous les cas, la prescription de vitamine C pourrait permettre d'éviter des troubles fonctionnels et permettrait peut-être de ranger au placard les conceptions cauchemardesques que nous avons du cancer. Il ne serait plus un processus invasif incontrôlé mais un phénomène certes gênant mais relativement bénin.

Par ailleurs, la méthode “vitamine C” ne donnera jamais aucun effet secondaire majeur sur les organes voisins comme la radiothérapie ou la chimiothérapie.

 

Je pense donc qu'à titre préventif, la complémentation régulière en vitamine C sous forme d'acide L-Ascorbique associée à un complexe suffisamment dosé en vitamines du groupe B qui potentialise l'effet de la vitamine C devrait permettre d'éviter tout dérapage dans les processus cancéreux. (Cf le chapitre sur les vitamines pour approfondir ces questions).

 

N.B. : Nous pouvons constater que l’efficacité de la vitamine C apparaît relativement limitée sur le plan statistique parce que seules les tumeurs qui ont dépassé la taille nécessaire à leur fonction psychosomatique reviennent à une dimension plus “normale”. Chez les animaux synthétisant la vitamine C, de telles expériences devraient se révéler négatives aussi longtemps que la situation de stress ne sera pas réglée. C'est quelque chose qu'il serait très intéressant de vérifier...

 

Dr Alain Scohy

"Rien n'est la proie de la mort, tout est la proie de la vie"

Pr Antoine Béchamp

bottom of page